FullFull® - "Toujours un truc à faire".
Je m'appelle Kevin Judic (Roikiine) et j'ai créé FullFull® en 2018 en m'inspirant des gens comme vous et moi.
Designer indépendant depuis 2011, j'imagine et commercialise les produits que vous trouvez sur fullfullshop.com
Le fonctionnement que j'ai choisi pour FullFull® est le suivant :
- Toutes les livraisons ont un code de suivi. En france, le groupe choisi est La Poste (le code est donc utilisable sur le site laposte.fr)
- Le paiement en ligne est sécurisé, j'ai choisi d'utiliser les modules de paiement sécurisé Stripe, Apple Pay et Amazon Pay.
- Pour toutes questions, merci de me contacter à l'adresse contact@fullfulshop.com
L'histoire de FullFull :
. Comment est né FullFull ?
. Pourquoi avoir choisi le nom FullFull ?
. Mon parcours (à lire si vous n'êtes pas trop fullfull en ce moment)
Comment est né FullFull ?
J'ai toujours eu dans un coin de ma tête l'idée de "créer ma marque", mais cette idée restait bien rangée dans la case Projet à faire un jour, juste à côté de "Ouvrir un bar entre pote", "devenir astronaute" et "jeter les piles usagées". Tout a commencé le dimanche 15 Avril 2018 vers 18h; oui c'est assez précis car à 18h27 je prenais la photo présente un peu plus bas du choco BN (voir un peu plus loin) que j'étais en train de dessiner pour un de mes amis en or, qui à l'heure où j'écris (13h, le 7/01/2020) ne s'est toujours pas fait tatouer... Et comme vous le savez, ou pas, l'EXIF d'une photo vous donne l'heure et la date de sa création.
Le lendemain, mon ami, dubitatif sur son idée de tatouage, m'a demandé si je pouvais rapidement dessiner une petite manique de gymnastique avec un air cool pour intégrer le sourire d'un BN. J'ai gribouillé une petite manique. Et pouf ! Cela m'a donné envie de dessiner l'univers gymnique, j'ai commencé par des croquis de squelettes que j'ai ensuite améliorés.
Pourquoi commencer par la gym ? Parmi les sports que je pratique, la gymnastique tient une place importante, alors je me suis dit que je pouvais proposer des designs différents de ceux que j'avais l'habitude de voir à l'entraînement ou en compétition. Les retours ont été positifs, je me suis donc lancé dans l'aventure FullFull®. Je m'inspire d'activités que j'apprécie, d'activités que l'on me fait découvrir, d'artistes en tout genre, de mon environnement au quotidien et de ceux qui partagent ma vie.
Pourquoi avoir choisi le nom FullFull ?
Je ne voulais pas utiliser le nom "Roikiine" que j'utilise pour mon activité de Freelance. Je voulais un nom simple et fun à prononcer, qui évoque le mouvement. Alors j'ai choisi et déposé la marque FullFull®.
Depuis tout petit, j'adore les saltos et je suis particulièrement fan du nom et de la figure Full Full. Pour les non-initiés, il s'agit d'un double salto avec une vrille dans chaque salto. Merci à Théo Berriat pour l'exemple ci-dessous :
Nous sommes le 7/01/2020, je n'ai malheureusement encore jamais tenté cette figure, mais depuis que j'ai choisi ce nom pour ma marque je me suis mis au défi d'y arriver un jour. Je sais faire des doubles, je sais faire des vrilles, il faut juste que je m'y mette.
Mon parcours :
Le début du commencement !
Je suis né à Nantes le jour de la fête des mères en 1989, ce qui te permet de connaître le jour précis si tu aimes jouer à Sherolck sur google. Je m'appelle Kevin prononcé Kévain. (Mes parents préféraient le son "ain", fin du débat).
"Roikiine", c'est le pseudo que j'ai commencé à utiliser pour signer mes photos sur le web. Ça vient de Joaquín Murietta. J'avais 10 ans quand j'ai vu le film "Le masque de Zorro"; j'étais fan (je le suis encore) ! Joaquín c'est le frangin de Zorro, il se fait couper la tête dès le début le pauvre, mais bon je ne pouvais pas choisir Zorro comme pseudo...
Depuis tout petit, je m'intéresse aux images (dessins, photos, vidéos...) et leur intégration dans notre monde, à travers les arts, le design des produits et la publicité. Mais ce qui m'a donné envie de faire des images reste mon émerveillement devant les photographies et montages en argentique de mes oncles Gerard et Philippe.
Cet intérêt est couplé à mes deux passions : "Bouger et inventer". J'ai grandi dans une famille assez sportive (comprenez "activités sportives de loisir le weekend", et non "Athlètes de Haut Niveau") et très manuelle (bricolage).
Bien souvent, ces deux activités se mélangeaient 😆, ce qui a éveillé ma curiosité.
Le char à voile maison soudé par mon père plombier en est un bon exemple. Sur les photos, sa première version à gauche, à droite son évolution; un siège renforcé pour nous embarquer.
L'irremplaçable jeu de brique Lego® a été un élément déclencheur de créativité dans ma vie. Je pouvais raconter l'histoire que je voulais, avec les couleurs et les formes que je voulais. Toutes mes histoires étaient remplies d'actions et de cascades. Je me suis rendu compte bien plus tard que mes façons de jouer, de regarder et de faire bouger mes personnages étaient dictées par ce que je voyais dans les dessins animés, les films et les publicités. Mes yeux me servaient de caméras, je cherchais à reproduire l'angle d'une scène que j'avais vu.
À l'école, j'ai pris plaisir à dessiner. J'étais dans la lune avec un gros manque de concentration. C'est fou comme faire autre chose que travailler me passionnait. En classe, j'avais toujours envie d'aller courir. Alors pour m'évader sans être l'agité de service et pour que les profs me fichent la paix, je dessinais. Je dessinais notamment la virgule Nike qui m'intriguait visuellement parlant. À la maison, je gribouillais un peu des personnages de BD, notamment ceux du Petit Spirou et d'Astérix. Mais j'étais plus branché dessin animé et "C'est pas Sorcier" sur France 3. L'épisode de 1997 sur l'illusion du mouvement m'a marqué.
L'arrivée de l'ordinateur chez mes parents en 1998 a changé beaucoup de choses dans ma façon de créer. Avec le logiciel Paint, la gomme et le papier étaient désormais illimités ! Tous ceux qui l'ont utilisé se souviennent de l'infernal bug; un trait qui apparait d'un coup impossible à effacer en ctrl+z 😩 (Plus tard, pour le dessin de la moto présent un peu plus bas dans l'article, j'ai failli exploser l'écran plus d'une fois quand le trait faisait son apparition. Mais je ne suis pas violent, alors je regardais le trait, désespéré, je me disais qu'il m'en fallait plus pour abandonner, je l'insultais, je rigolais et je m'y remettais.)
En 2003, au Collège Jean Rostand d'Orvault, j'ai effectué mon stage d'observation dans un cabinet d'architecture au 3 rue Bréa à Nantes. On a trouvé le cabinet dans l'annuaire avec ma mère, elle m'a mis le téléphone dans ma main. J'ai dit que je dessinais un peu sur ordinateur, ils m'ont pris et j'ai découvert l'infographie. C'est un très bon souvenir car j'ai pu incruster une véranda 3D sur une photo de la maison de mes parents. J'ai adoré les voir créer des maquettes 3D, leur appliquer des textures et les imprimer sur l'imprimante géante de leur petit cabinet. À la fin de mon stage je me revois dire à mes parents : "j'adore ce qu'ils font mais j'me vois pas passer mes journées derrière un ordinateur." (À cette époque je voulais devenir animateur radio, mais je n'avais pas réussi à obtenir un stage d'observation chez Hit West).
Ma période collège est aussi synonyme de découverte avec le caméscope. J'aimais faire des petites animations avec les Legos. Comme par exemple, ce petit film en stop-motion que j'ai retrouvé sur une VHS de mes parents. Je voulais faire un clip, alors j'ai emprunté un Lego articulé à ma grande soeur.J'ai d'abord essayé avec la petite fonction "Snap" de la caméra qui prend des photos pendant que l'on filme. Mais le rendu était nul; en mettant "play" sur le caméscope, les photos se lisaient bien les une après les autres mais le paramètre d'usine faisait s'afficher la photo pendant 2 secondes avant de passer à la suivante, or il me fallait diviser au moins par 4 ce temps pour donner l'illusion d'un mouvement. J'ai donc opté pour créer de toutes petites séquences vidéos en appuyant deux fois le plus vite possible sur REC.
Au lycée Nicolas Appert d'Orvault, j'ai passé les 4 années les plus marrantes de ma vie scolaire en Génie Mécanique. J'aimais bien le dessin industriel, mais j'étais "insuffisant" en maths ( bon avec 3 de moyenne j'aurais pu dire "nul" mais autant reprendre les termes officiels du bulletin).
Exemples de mes dessins réalisés avec Paint :
En 2006, ma grande soeur a eu un petit appareil photo compact Nikon avec lequel était livré Photoshop Element 4. J'ai alors découvert les premières fonctionnalités de retouches d'images. Je mettais des filtres d'effets partout et de grosses ombres sur les textes 😆 Quand je découvrais un effet, j'adorais le mettre à toutes les sauces, histoire de montrer qu'il y avait un effet; pas de doute on voyait tout de suite que c'était photoshopé... (Avec le temps mes créations sont restées très identifiables comme "photoshopées" mais plus appréciables à l'oeil je pense).
Un an après ,j'ai acheté mon premier petit appareil photo compact Vivitar®. J'étais tellement pressé de prendre des photos que je n'ai pas correctement fait la première charge de la batterie. Résultat, ma batterie se vidait en dix déclenchements. La loose, surtout que ce petit appareil à 30€ était vraiment pas mal du tout pour son prix.
Voici mon meilleur souvenir avec cet appareil; une photo prise dans le petit tunnel sous la piste du circuit Paul Armagnac Nogaro dans le Gers.
De Nantes à Montpellier.
Je suis parti de Nantes à 19 ans pour étudier le marketing et la communication dans le sport à l'UFR STAPS de Montpellier. J'ai dû réaliser quelques affiches et flyers pour les cours de communication. C'est alors que j'ai commencé à utiliser la version CS4 crackée d'Adobe avec un pc qui ramait pour tout fichier supérieur à 60 mega octets. C'était fastidieux de lenteur mais plaisant.
Pour mes 20 ans, ma famille m'a offert un CANON EOS 600D, fini le petit compact, j'entrais dans le monde de la photographie en RAW.
Exemple de mes débuts en photographie (Modèle: Camille.F - Collioure,France)
Petit passage à Paris.
En 2010, lors de mon cursus DEUST au STAPS, il a fallu que j'effectue un stage avec une convention de deux mois dans le secteur du "marketing du sport". Je voulais trouver un stage dans un groupe comme Nike, Adidas, ASO...Mais je ne connaissais personne qui pouvait me pistonner. Donc pour trouver ce stage, j'ai envoyé des messages en veux-tu en voilà sur viadeo. Les seules réponses positives que j'ai reçues étaient celles de Matteo Bisicchia et Bruno Michel m'orientant vers une candidature dans leur service, pour un stage en qualité d'assistant chef de produit sur le site d'actualités sportives football.fr
On m'a fait passer un entretien. On m'a précisé que pour m'accepter, il fallait que ma convention de stage soit supérieure à quatre mois, puis il y a eu des sourires quand ils ont apprit que je faisais six heures de TGV pour 15min d'entretien. Dans le train du retour, je me disais que je venais de perdre bêtement mon argent et mon temps car il fallait encore convaincre ma fac de modifier la durée de stage sur ma convention.
La responsable de la formation DEUST au STAPS de Montpellier a réussi à faire modifier les dates. Merci Anne-Laure j'ai été pris.
On était en pleine coupe du monde 2010 donc l'ambiance dans un média sportif était plutôt plaisante ! C'était le début des pages "Fan" Facebook. Mon tuteur de stage a accepté que je puisse créer celle de football.fr. J'étais amené à travailler avec les graphistes qui créaient les bannières publicitaires des différents site du groupe Lagardère Active. Ils étaient souvent débordés, alors pour gagner du temps, je bidouillais de mon côté sur photoshop pour faire les actus de la page facebook. J'occupais souvent mon temps libre à errer dans Paris et prendre des photos.
Exemple de photographie faite pendant mon passage à Paris.
Retour à Montpellier fin 2010.
C'est le début des shoots photos. Avec Caroline (TessCoiffure) je fais un pas dans l'expérimentation de la photo "mode".
Exemples de photo réalisées pour TessCoiffure (Modèles: Elsa.G & Caroline)
J'adorais capturer des images mais mon imagination me donnait toujours envie de créer quelque chose que je ne pouvais pas prendre en photo. Alors j'ai commencé à pousser mon travail photographique sur du photo-montage.
Au fil du temps ,les barrières techniques sautaient une à une, j'avais un ordinateur plus puissant et des objectifs photos de plus en plus performant, je pouvais enfin commencer à créer des montages photos plus aboutis. Le début d'un apprentissage maison à base de tutos youtube alterné de longues heures de shooting photo avec ma moitié, Elsa. (que je remercie pour son incroyable patience et son soutien)
Exemples de mes premiers montages photos sous photoshop.
Photo après photo, montage après montage, le graphisme rythmait mes années fac. J'ignorai que cela pouvait devenir mon métier car je ne suivais pas le cursus d'une école d'arts appliqués.
Un des intervenants du diplôme que je préparais au STAPS a invité ma promo sur un match de water-polo. Il travaillait en externe pour le club. J'ai fais quelques photos le soir du match, j'ai mis le logo de l'association sur les photos et je lui ai envoyé. Peu de temps après, il m'a sollicité pour faire des photos et créer des visuels. De fil en aiguille, nous avons travaillé sur différents projets, des partenaires du Montpellier Water Polo ont commencé à me solliciter et voilà comment je suis devenu "photographiste".
Certains de mes travaux, comme ceux réalisés pour le Montpellier Water Polo sur les saisons 2012, 2013 et 2014, m'ont permis de travailler sur différentes prestations (photos, vidéos, graphisme) avec différents clubs, associations, fédérations et marques de sport (Ak Sport, Aqualove, Montpellier Triathlon, USN, Stages NK22,HBC Nîmes, Fédération Française de Natation...)
Charte graphique pour le club Montpellier Water polo (saison 2014 et 2015) | Photographies + graphisme
Affiche publicitaire pour la marque USN Nutrition | Photographie + graphisme (Modèle : Fulgence Ouedraogo)
Travail pour l'agence Binôme sur la charte graphique du club HBC Nîmes (saison 2015) | Photographie + graphisme
Projet personnel pour l'image de mon profil Freelance
Exemple d'un travail vidéo avec l'équipe de France de Natation Synchronisée pour la Fédération Française de Natation. (prises de vue + montage)
De 2014 à l'été 2016, j'ai participé à la création d'un logiciel d'inscription pour associations sportives. L'expérience était très enrichissante et mes compétences se sont étendues au domaine du web (UX/UI design). Des différences de vision sur l'activité future de l'entreprise m'ont conduit à faire le choix de quitter l'aventure. J'ai alors repris mon activité de graphisme en Freelance.
Travail personnel pour mon profil Freelance Roikiine | Photographie + graphisme
À la reprise de mon activité Freelance, les demandes des clients se sont diversifiées, mes compétences en webdesign et graphisme étaient plus souvent sollicitées que la photographie. L'accélérateur privé d'entreprises WeSprint m'a confié plusieurs missions avec les sociétés qu'il accompagne. De belles rencontres et des projets très variés, allant de la réservation d'activités de voyage (doyoogo), en passant par le logement connecté intelligent multimarque (MaSmartHome maintenant devenu lono) jusqu'aux photographies de l'univers 🤩 avec le premier télescope connecté (Stellina)...
Début 2018, ma boîte à outils créative s'est complétée. J'ai choisi l'IpadPro avec l'application Procreate® pour dessiner en pixels et l'application Adobe® Draw pour le dessin vectoriel couplé à illustrator sur ordinateur.
Cet outil m'a fasciné. J'ai commencé à dessiner sur mes centres d'intérêts; à commencer par le sport, la suite vous la connaissez.
Le sport et son importance dans ma vie
La gymnastique
Aussi loin que je me souvienne, grimper partout, sauter et courir ont toujours fait partie de mes activités journalières. En même temps, petit on reproduit ce que l'on voit; ma grande soeur faisait de la gym, mes cousins faisaient de la gym, leurs parents ont fait de la gym et mon père faisait l'équilibre sur une chaise en soirée...
À 6ans j'ai commencé la gymnastique artistique au CSC Laetitia de Nantes. Je vais y passer 12 merveilleuses années, rencontrer des amis en or, gagner avec eux un Championnat National FSCF en équipe, participer à la vie du club et prendre goût à ce sport complet.
J'ai arrêté la gymnastique en arrivant à Montpellier en 2008. Le beau temps me donnait envie de pratiquer des activités extérieures. (football, skate, windsurf...) Mais la gymnastique ne m'a jamais vraiment quitté, alors en 2016 j'ai décidé de rajeunir et de reprendre avant qu'il ne soit trop tard pour mon corps ! J'ai rejoint la section adulte-loisir de l'AGLM à Lattes. Pour le fun, j'ai aussi repris la compétition en FSCF avec mes potes d'enfance au Loquidy de Nantes; je ne suis pas celui qui rapporte le plus de points mais on se marre bien. Cette année (2020) avec le groupe adulte de l'AGLM on s'est motivés à faire du teamgym en compétition et on veut une médaille ! Enfin...si on n'a pas de blessures ce sera déjà une grande victoire à 30ans 😂.
Le football
Dans la cour de l'école j'aimais aussi courir derrière un ballon, alors je bassinais mes parents pour qu'ils m'inscrivent au foot, mais ils n'avaient pas envie de passer leurs dimanches au stade. Durant cette période, Le FC Nantes a gagné le championnat de France en 95 et 2001, j'avais des posters de Marama Vahirua dans ma chambre, l'école nous avait emmenés en visite au centre d'entraînement du FC Nantes à la Jonelière et les bleus on été Champions du monde. Mes parents ont fini par capituler et m'ont inscrit au foot à l'ORC (Orvault Racing Club).
Gym plus foot, cela commençait à faire pas mal d'entraînements dans la semaine. Vu mon niveau, je n'allais pas devenir footballeur ni gymnaste de haut niveau et mes notes au collège étaient en chute libre. J'ai dû faire un choix, j'ai choisi mes potes d'enfance, donc la gym. Le foot, ce sera des matchs entre amis à Nantes puis au STAPS en option foot à Montpellier, deux saisons au club de Prades-le-Lez et une expérience inoubliable à Paris avec le programme de recrutement de Nike.Les sports de glisse
Petit j'ai eu la chance de pouvoir aller à la mer en été et au ski quelques hivers. Mon père touché par le virus de la planche à voile dans les années 80 me l'a transmis, mon oncle Franck m'a initié au snowboard quand j'avais 10 ans, et le skateboard est venu à moi au collège; comment ne pas être influencé par les exploits de Tony Hawk, Bob Burnquist, Rodney Mullen...dans les années 90 ?
Le skateboard
Je me souviens des heures passées scotché devant ESPN chez mon cousin à regarder les rediffusions des X-Games et des vidéos de skate sur MTV. C'était une évidence : il me fallait un skateboard !
J'ai fais mes premiers ollies sur un skate Auchan. Une vraie m**** ce skateboard mais pour apprendre à tenir dessus c'était largement suffisant. L'univers du skateboard m'a tout de suite plu car il allie créativité audiovisuelle, sport et liberté. J'ai toujours eu une préférence pour les courbes type bowl, mini-rampe et half-pipe. Surement dû au fait que j'aime prendre de la vitesse sans avoir à pousser sur une jambe.
Le windsurf
J'ai appris la planche à voile vers 13 ans avec mon père sur la côte atlantique, j'ai tout de suite accroché ! Le matos pesait une tonne mais les courtes sensations de glisse effaçaient les galères de l'apprentissage. Vers 16-17 ans mon ancien coach de gym Thomas, un mordu de windsurf m'a initié au funboard sur la plaine de Mazerolles.
En arrivant à Montpellier, je n'avais pas de garage, alors ma planche à voile était stockée dans celui d'un ami. Je n'étais plus trop motivé à aller naviguer, le matos coûtait de plus en plus cher et j'avais d'autres occupations sportives. Un comble pour quelqu'un qui vient d'emménager dans l'une des zones idéales pour la pratique du windsurf en France.
Durant l'été 2017, mon père est descendu avec sa planche et j'en ai refais avec lui. Et j'ai de nouveau été piqué par le virus windsurf.
J'avais en tête de proposer une explication rapide du pourquoi du comment j'ai créé FullFull et c'est un peu parti en live avec cette mini-bio qui t'a peut-être endormi(e). Donc je me suis dit que j'allais terminer par un petit jeu. J'ai caché un code promo dans l'article valable sur ta première commande. Un indice, le code est une année écrite en orange sur un photomontage.